Ce que vous devez impérativement savoir sur la puissance des émotions

  • J’aimerais vous poser deux questions.

    Deux questions importantes.

    Si importantes qu’à elles seules, ces questions ont changé l’existence de milliers de personnes.

    La première, vous l’avez sûrement déjà entendue. La seconde, peut-être un peu moins.

     

    La puissance des émotions

    Prenez conscience de la puissance des émotions

    Deux questions pour comprendre la puissance des émotions

    Ces questions, les voici :

    Qu’est-ce que vous désirez le plus dans la vie ?

    Peut-être souhaitez-vous avoir de meilleures relations, plus d’argent, un travail plus intéressant, plus de trafic sur votre blog, etc.

    OK.

    Mais au fond, qu’est-ce qui vous conduit à souhaiter ces choses ?

    Pourquoi voulez-vous de meilleures relations ?

    Pourquoi voulez-vous plus d’argent ?

    Pourquoi voulez-vous un travail plus intéressant ?

    Réfléchissez sur ce point.

    Vous voulez :

    • de meilleures relations parce que vous avez envie de VOUS SENTIR aimé, écouté, compris
    • plus d’argent, pour VOUS SENTIR libre, en sécurité, puissant
    • un travail plus intéressant pour VOUS SENTIR épanoui, vivant, excité

    Vous voyez où je veux en venir ?

    Invariablement, derrière ces désirs se cache la recherche d’une émotion particulière.

    En fait, rien n’a plus d’importance que le contenu émotionnel de votre vie.

    Et c’est pour cela que les émotions ont un pouvoir incroyable !

    Elles sont le pouvoir ultime.

    Pensez-y un instant.

    Ce sont les émotions qui poussent l’Homme à faire la guerre ou à faire l’amour, à tuer ou à créer la vie.

    De même, ce sont vos émotions qui vous amènent vouloir maigrir, acheter un nouveau vêtement, faire du sport, voir des amis ou repeindre la salle de bain…

    Le pouvoir des émotions est si puissant que vos émotions déterminent entièrement la qualité de votre vie.

    Vos émotions peuvent vous rendre physiquement malades ou… vous soigner !

    Pour Daniel Goleman, elles désignent à la fois « un sentiment et les pensées, les états psychologiques et biologiques particuliers, ainsi que la gamme de tendances à l’action qu’[elles suscitent] ».

    Les émotions conduisent l’Homme.

    Autrement dit, vos émotions sont le guide qui dirige vos actions. C’est la puissance des émotions.

    Et vous, comment réagissez-vous quand vous entendez votre guide  ?

    Lorsque vous ressentez des émotions agréables, tout va pour le mieux je présume, non

    Mais comment traitez-vous les émotions désagréables comme la déception, la frustration, la colère ou la solitude ?

    Selon Anthony Robbins, la plupart des gens gèrent leurs émotions négatives de quatre manières différentes :

    • Il y a ceux qui évitent leurs émotions, qui essaient de ne pas les ressentir.

    Par exemple, celui ou celle qui veut éviter le sentiment d’être rejeté tentera de ne pas se confronter à une situation dans laquelle il ou elle pourra l’être.

    Résultat : il ou elle ne pourra pas ressentir le plaisir d’être accepté ou d’être aimé.

    •  Il y a ceux qui décident d’endurer leurs émotions ou, encore mieux, de les nier.

    Quelque chose du genre : « non non, tout va bien. Je ne suis pas contrarié… » ou encore «mais non je fais pas la gueule j’te dis !»

    Ça vous rappelle quelque chose ? 😉

    Ces personnes se dissocient de leurs émotions.

    Résultat : leurs émotions s’empilent, se renforcent et elles se sentent de plus en plus mal.

    • Il y a aussi ceux qui utilisent leurs émotions négatives comme s’il s’agissait d’une compétition.

    « Tu crois que ça ne va pas ?! Mais je me sens encore plus mal que toi ! Il m’est arrivé blablabla… et au bureau untel m’a fait blablabla… »

    Résultat : ils font des matchs pour voir à quel point ils peuvent se sentir mal.

    • Enfin, il y a ceux qui choisissent d’apprendre de leurs émotions et de les utiliser.

    En d’autres termes, ils écoutent leurs émotions et les interprètent de manière à ce qu’elles leur soient utiles.

    Résultat : ils réussissent à traduire ces émotions désagréables de manière à leur donner un sens qui soit positif pour eux. Ils parviennent à y attacher une signification qui leur donne du pouvoir, pour accéder à ce qu’ils désirent.

    A l’évidence, la quatrième méthode donne les résultats les plus positifs.

    Je vous expliquerai dans un article à venir comment utiliser aux mieux vos émotions. Il existe des outils très simples et efficaces pour y parvenir !

    En attendant, je vous suggère de vous exercer à écouter vos émotions et à les identifier dès qu’elles arrivent.

    Vous pouvez par exemple leur donner des noms ou des prénoms. Et ainsi désigner votre colère ou votre peur :

    « Ah, voilà Mickey qui se pointe » ou « je sens que Panoramix n’est pas loin » :)

    Décrivez ces émotions.

    Précisez ce que vous ressentez et notez les réactions qu’elles suscitent en vous. Vous verrez, c’est très instructif !

    Car, dans quelle proportion êtes-vous encore esclave de vos émotions ?

     

    24 commentaires

    1. Bonjour Greg,

      Très belle approche d’un sujet profond.
      (Et très bon titre)

      « Pourquoi je veux ça ? » Cette découverte est une clé précieuse pour comprendre et entretenir la motivation.

      Ou pour savoir pourquoi on abandonne…

      C’est bien le fait d’avoir une idée précise de ce qu’une réussite déclenche ou doit déclencher à l’intérieur de soi, l’espoir de ce qui est attendu, qui donne de la force à un but.

      Néanmoins, trouver ses motivations profondes n’est pas toujours chose facile.

      Et il faut, en effet, comprendre quelles émotions profondes sont éveillées, pour discerner ce fameux : « pourquoi je veux ça. »

      Le processus d’apprivoiser ses émotions pour parvenir à écarter ou à utiliser les émotions passe par trois étapes :

      – Acceptation (OK, je ressens telle chose)

      – Faire sortir (crier, ou s’apaiser par l’auto persuasion)

      – Rediriger l’émotion (par exemple, le début du courage c’est de ressentir la peur)

      En dehors de techniques spécifiques, pour réaliser cela, il vaut mieux être déjà passé par les processus d’acceptation de soi qui permettent de mieux se connaître.

      Les émotions ne doivent jamais être ignorées, leur force les oblige à sortir ou à grandir à l’intérieur jusqu’à l’étouffement.

      Bon, je coupe court à ce commentaire, bientôt je vais écrire mes articles sur ton blog. (Humour)

      Bonne journée, à bientôt,

      Jean Paul

      • Coucou Jean-Paul,

        Merci pour ton compliment, il me fait bien plaisir :)

        Mais non ! Pourquoi donc te censures-tu sur ce blog ? Tu es bien libre de composer à ta guise ! :-)

        Je te rejoins complètement : il est bien sûr qu’un travail sur soi, en nous conduisant à toujours plus s’accepter tel que l’on est, tout en faisant la lumière sur certaines parties de nous, permet d’appréhender plus facilement les 3 étapes dont tu nous parles.

        De même qu’il facilitera la connaissance de « la raison derrière la raison » : le pourquoi je veux ça ?
        Qu’est-ce que cette volonté vient nourrir de plus profond chez moi ?

        Belle soirée à toi

        Grégory

    2. Salut Grég,

      Très bonne idée de mettre des noms à nos émotions. Cela peux nous aider à les analyser, à connaitre à quel moment ils surviennent et donc pouvoir agir dessus.

      On attends la suite,

      Al

      • Merci Al pour ton feedback.

        oui, les noms aux émotions, ça m’est venu un peu comme ça…

        Je connaissais le truc pour notre saboteur interne, notre voie intérieure négative, qu’on peut nommer pour la débusquer et l’affaiblir.
        Alors, pourquoi pas aussi pour toutes les émotions, les paralysantes comme les plus agréables !

    3. Bonsoir Greg,

      Je suis bien d’accord avec toi, il n’y a pas plus libérateur et formateur que d’écouter ses émotions. Les identifier et les apprivoiser permet de devenir meilleur et bienveillant envers les autres et soi-même.

      Il faut juste que chacun comprenne que la manifestation de ses émotions n’est pas une faiblesse mais bien au contraire, une force.

      C’est drôle que tu évoques ce sujet, c’est justement ce dont je parle dans un article récent :-).

      • Bonsoir Sylvie,

        Et bien c’est génial : nos pensées convergent sur les thématiques à traiter. Si c’est pas beau ça ! :)

        C’est vrai que bien souvent vivre nos émotions nous parait « interdit ». Pourtant, savoir identifier rapidement celles qui nous paralysent permet justement de comprendre ce qu’elle a à nous dire, et le besoin non satisfait qu’il peut y avoir derrière.

        Je m’en vais te lire de ce pas 😉

        Belle soirée à toi.

    4. Eh oui c’est comme en vente, on achète par émotion et on cherche une raison rationnelle pour se rassurer dans l’achat :)

      • Exactement !
        Les vendeurs se servent d’ailleurs beaucoup de ce principe, en s’adressant directement à nos cerveaux reptiliens et limbiques, pour aller déclencher l’acte de pulsion de l’achat.

    5. BK

      Hello Greg,

      Il en est des acceptions du mot « émotion » comme des grains de sable sur une plage !

      Si l’on s’en réfère à son étymologie, c’est un mouvement en rapport avec l’extérieur.

      La Tradition spirituelle, depuis le hattat hébraïque jusqu’aux logismoï d’Evagre, appelle ce mouvement « péché ».

      Mais si tous les péchés sont des émotions, toutes les émotions sont-elles des péchés ?

      S’il est évident qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien en traduisant les émotions désagréables en quelque chose de positif, il ne me semble néanmoins pas non plus dénué d’intérêt de mettre à la porte tous les fantômes qui hantent le cerveau émotionnel depuis que l’espèce humaine s’est laissée pousser des protubérances corticales par dessus.

      Dorloter comme un acquis social la position dominante de l’émotion ravale l’homme au rang de la bête plus sûrement que quelques verres de Pastis !

      Ce serait quand même une bonne chose que le cortex prenne une bonne fois pour toutes ses responsabilités d’adulte, et qu’il indique au cerveau émotionnel le chemin de la vacuité !

      Enfin, moi ce que j’en dis… c’est juste histoire de réaliser la Compassion !

      Bernard

      • Coucou BK,

        Oui !

        Je comprends et te suis dans ton propos. Pour te lire régulièrement et, restons dans ce bon vieux cortex, 😉 connaissant tes présupposés épistémologiques (même si peut-être tu ne les appelleras pas comme ça !), on ne peut que penser comme tu le fais !

        Ceci dit, tu y vas peut-être un peu CASH, dans une approche un brin radicale !
        Disons que si je te suis sur la finalité, je découpe le processus en plus d’étapes que toi.

        Peut-être que, justement, ce cortex ne vient pas à bout si facilement d’un cerveau conçu plusieurs millions d’années avant lui (enfin du moins pas sans un travail spi, qui est séduisant sur le principe et dans sa théorie. Quant à le mettre en application, maintenant, c’est à une véritable révolution que tu nous convies !).

        Laissons peut-être les gens d’abord apprivoiser leur émotions négatives, pour les transformer en positives. Ceci fait, passons alors à l’échelon supérieur en abolissant totalement comme tu le dis, les illusions pour que la vacuité retrouve sa place.

        Même si tu ne me rejoindras pas car tu me répondras que l’éveil peut être soudain, je prone pour l’instant la voie du Kaizen : petit pas après petit pas !

        • BK

          Radical avec les conciliants et conciliant avec les radicaux !

          Telle est ma devise.

          Sinon, on s’endort !

    6. Il est selon moi essentiel de rappeler comme tu le fais que les émotions sont à utiliser et non à enfuir comme il peut facilement être le cas en occident.

      Tout notre pouvoir réside dans notre capaciter à les gérer et les utiliser.

      • Salut David,
        Content de te voir par ici :-)
        Je pensais te contacter d’ici peu pour profiter de tes lumières.
        J’espère que tout roule !
        A toute

        Greg

    7. Je suis assez d’accord, le pouvoir de l’émotion et du mental peuvent faire des miracles. Ca me rappelle l’histoire d’un homme qui s’était retrouvé enfermé dans les chambres froides dans un bateau et qui a été retrouvé à l’arrivé mort de froid.
      Jusque là, rien de bien curieux mais il faut savoir que les chambres n’étaient pas actives…

      • Salut Julien,
        Merci pour ton commentaire sympa.
        Oui tu as raison, cette histoire est absolument incroyable. On peut la rattacher à la puissance du mental et de nos croyances.
        J’ai prévu un petit article là-dessus :-)

        Vis une belle journée !

        Grégory

    8. Salut Greg,

      Je suis d’accord avec toi. Nos émotions sont des sources d’info « à portée de main », et on peut choisir de les prendre en compte (ou pas).

      Je me posais une question en lisant ton article.

      Dire d’une émotion qu’elle est positive ou négative, ne serait-ce pas un peu réducteur ?

      Certaines émotions peuvent être désagréables et avoir un impact positif dans notre vie (et vice versa).

      Et pour compliquer le tout, avec la même émotion, certains vont faire l’amour quand d’autres iront faire … la guerre.

      En fait, le lien que tu fais entre émotion agréable et émotion positive me trouble un peu. Mais peut-être que je m’égare. Au plaisir d’avoir ton avis sur ce point. Tu n’es pas obligé de me répondre ce soir, ça pourra attendre une autre article si tu préfères. :-)

      Amicalement.

      Samuel

      • Coucou Sam,

        Je suis parfaitement d’accord avec toi, et je te remercie pour ta remarque !

        Je m’aperçois que je n’ai pas été assez rigoureux : je fais toujours attention à, justement, éviter d’utiliser les termes de négatif et de positif pour les émotions.
        Je préfère « agréable » et « désagréable » car une émotion est vraiment très personnelle et, le positif ou le négatif en soi n’existent pas.
        Chacun vit les choses à sa façon.
        Je suis tombé dans ce « piège » par facilité d’écriture. Mais tu as raison, je serai plus rigoureux la prochaine fois.

        Surtout que tu soulèves un point tout à fait vrai auquel je n’avais pas vraiment pensé : une émotion (la peur) par exemple, n’est pas très agréable à vivre, mais si c’est la peur avant d’aller parler en public par exemple, lorsqu’on la dépasse, ensuite, cette expérience sera très positive pour notre vie. Cette peur nous booste justement.

        Après, peut-être qu’on peut essayer, justement, d’atténuer la part de « peur » et de « stress » de l’émotion, pour ne retenir que la conséquence positive qu’elle va avoir.

        Merci pour ton excellent commentaire cher Sam !

        A très bientôt

        Grégory

    9. Bonjour Greg ,
      Je n’ai pas eu le temps de lire tous les commentaires qui ont certainement abordé le sujet que je me permets d’évoquer:
      Et si nos émotions étaient une opportunité donnée par la Conscience de nous sentir Vivant , d’honorer le Vivant ,… et non pas une fin en soi ?
      Car , si l’on y regarde à deux fois:
      les émotions sont changeantes, impermanentes , d’une nature fugace ,…
      alors que notre véritable nature , elle ,
      est stable , mais quelle est-elle ?
      Cet angle d’observation permet d’observer et de se servir des émotions pour ce qu’elles sont : des vecteurs et non le but ultime !
      Ne nous trompons pas de cible …
      C’est ça mon propos.
      Si l’on s’attache trop à l’identification des émotions ( qui , certes est une étape fondamentale au service de la connaissance de soi),
      le risque est de croire que nous ne sommes … que ça !
      Un individu heureux, malheureux, triste, joyeux, en colère , terrorisé, etc…
      Nous sommes cela et bien plus encore ,
      et je préfère pointer le regard vers ce qui est stable , …. le Réel ….qui lui est …Permanent … non-dépendant .
      Belle journée à toi Greg.

      • Coucou Marie,

        Merci pour ce beau commentaire, plutôt profond, comme à ton habitude 😉

        Je suis tenté de te faire la même réponse que celle que j’ai faite à Bernard.

        Je comprends et je partage cette idée d’oublier sa personne, pour laisser parler l’impassible nature universelle qui est en nous.

        Cependant, il me semble que cette étape arrive plus facilement si on a d’abord bien apprivoisé nos émotions.

        Lorsque j’avais 20 ans (il y a 10 ans), j’ai beaucoup lu sur ces idées de vacuité, de laisser notre nature profonde s’exprimer, etc.

        Mais, et c’est uniquement mon expérience bien sûr, j’ai fait fausse route dans mon interprétation, car je me coupais littéralement de mes émotions (sans pour autant me connecter avec ma nature profonde).

        Du coup, aujourd’hui, je réapprends à les connaître, à les repérer. Comme cela, elles n’arrivent pas entièrement à mon insu. Et c’est cela qui, justement, fait que je ne m’identifie pas entièrement à « elles ». Je sais que je suis plus “vaste ».

        Par suite, elles se font moins fortes aussi.
        Ce qui, peu à peu je pense, m’amènera à être plus proche de mon Etre profond.

        En attendant, comme je n’arrive pas à me connecter tout le temps à la stabilité de notre nature et bien, les autres moments, du fait qu’on cultive les émotions justes, restent au moins agréables voir délicieux !

    10. Ah les mots seront toujours trop « petits » et « incomplets » pour contenir la réalité…

      Content qu’on arrive malgré tout à se comprendre ! 😉

      A+ Sam

    11. Salut Greg,

      Je laisse mon premier commentaire également sur ton blog :)

      Je tiens à te féliciter pour cet article qui est bien fourni et qui va au fond des choses.

      Les émotions sont à comprendre pour mieux les vivre la prochaine fois qu’on les ressentira. Il ne faut surtout pas les encaisser sans changer.
      Ce n’est pas évident mais c’est un travail de répétition je pense :)

      Bonne journée,

      Pierre-Antoine

      • Coucou Pierre-Antoine,

        Merci de passer, c’est Nice :-)

        Et merci pour tes compliments.

        Effectivement, si on ne s’adapte pas, et que ne change rien après de grosses émotions, si on en tire aucun enseignement sur ce qu’elles viennent nous dire, on est pas en route vers le Succès là !

        Belle journée à toi

        Grégory

    12. Bonjour,

      Bravo pour cet article.

      Deux choses , je n’ai pas de désiris dans ma vie plutôt des préférences. Et mes émotions , je ne les écoute^pas , je les reconnais

      @+

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