Pourquoi un programme neurolinguistique peut freiner votre réussite ? (2/2)

  • Cet article est la suite de Pourquoi un programme neurolinguistique peut freiner votre réussite ? (1/2)

    L’une des étapes du succès est l’adaptabilité : savoir composer et tirer parti des évènements qui nous arrivent pour les intégrer dans notre voyage vers le succès.

    Savoir tirer des conséquences de ce qui a n’a pas marché pour modifier son comportement et ne pas refaire inlassablement les choses qui nous mènent nulle part.

    Comme le dit Anthony Robbins : « seule une souplesse attentive mène à la réussite ». Il convient donc de s’entrainer à la flexibilité. D’en faire une seconde nature.

    Car dans la nature, c’est toujours l’élément le plus souple qui l’emporte. Et qui réussit donc.

    Vous connaissez sans doute cette image Zen du roseau qui courbe et s’adapte afin d’endurer le vent tandis que l’arbre rigide se fait déraciner.

    Il en va de même pour nous : plus on veille à la plasticité de notre système nerveux, plus on ira facilement vers le succès. Plus nous adaptons nos programmes neurolinguistiques à nos objectifs, plus nous avons de ressources.

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    votreréussite

    Des chaines empêchent-elles votre réussite ?

    Nos habitudes bénéfiques, gardons-les !

    Mais lorsqu’elles nous nuisent, il est bon d’en prendre conscience pour les modifier.

    Comme le disait Feldenkreis, inventeur d’une méthode sur le corps dont je suis adepte, « si vous savez ce que vous faites, vous pouvez faire ce que vous voulez ».

    Quand on sait que l’on peut faire autrement que ce que l’on fait habituellement, alors, ce que l’on fait, on le fait parce qu’on l’a choisi, non parce qu’on le subit.

    On est à même de choisir un comportement que l’on veut au moment où l’on veut, plutôt que de répondre comme un robot de façon automatique et sans choix.

    On agrandit ainsi notre champ des possibles, et on cultive donc notre capacité d’adaptation à toutes les situations. On favorise donc notre succès.

    Entrainons-nous à briser nos habitudes

    Pour modifier plus facilement nos « programmes en mode automatique », il est bon d’être entrainé à ne pas satisfaire nos cerveaux reptiliens et limbiques. Comment?

    – En commençant par mettre la chaussure gauche en premier.

    – En se brossant les dents de l’autre main.

    – En changeant de place à table ou dans le lit.

    – En achetant d’autres produits.

    Bref, en inversant l’ordre dans lequel on fait les choses. Ou en en faisant de nouvelles.

    Ce sont ces petits détails qui vont faire que vous vous adapterez de plus en plus facilement. Et vous ouvrirez ainsi un peu plus au monde.

    Vous l’aurez compris: la réussite commence au quotidien, en s’habituant à rompre nos petites routines.

    Encore une habitude à prendre me direz-vous !

    2 commentaires

    1. Bonjour Grégory,

      Merci pour ces deux articles sur le fonctionnement du cerveau ; tes deux premiers articles je crois…
      Je prends beaucoup de plaisir à découvrir ton site, tes articles et tes vidéos… Bravo encore pour leur qualité.

      Ne plus subir nos habitudes dans la vie quotidienne en s’efforçant de les changer est une excellente idée, relativement facile à appliquer, avec un minimum d’effort.

      Mais comment faire pour modifier nos habitudes et aller plus loin que le changement de main pour se laver les dents ?

      • Coucou Hervé,

        Justement, tout commence d’abord en modifiant de petites habitudes, comme le changement de côté du lit où on dort ou le pied par lequel on commence à mettre notre chaussure 😉

        C’est en cultivant cette capacité là sur de petites choses qu’on va rendre notre cerveau adaptable et plus « élastique ». On sait aujourd’hui avec les Neuro-sciences que ce dernier a énormément de plasticité.

        Il sera alors ensuite plus facile de modifier des habitudes plus « ancrées », plus profondes, toujours avec le même mécanisme : opérer de petits changements régulièrement, qui nous permettront de prendre de nouvelles habitudes !

        Bien amicalement,

        Grégory

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