Savez-vous comment muscler vos… pensées positives ?

  • Savez-vous qui a la plus grande influence sur vous de nos jours ?

    C’est…. ?

    Vous-même !

    Voilà une bonne nouvelle non ?

    Vous pouvez vous utiliser pour vous influencer vous-même. Sacré avantage ça. Qu’en pensez-vous ?

    En particulier, vous pouvez utiliser vos pensées, car elles influencent vos sentiments, et peuvent donc avoir un profond effet sur la façon dont vous traitez la vie en général.

    Emile Coué et la méthode Coué avaient déjà bien sûr tout compris.

    Pour moi, nul autre mieux que Frank Outlaw n’exprime ce principe :

    « Surveillez vos pensées, elles deviennent des mots.

    Surveillez vos mots, ils deviennent des actions.

    Surveillez vos actions, elles deviennent des habitudes.

    Surveillez vos habitudes, elles deviennent votre caractère.

    Surveillez votre caractère, il devient votre destin ».

     

    pensées positives

    L’auto-suggestion pour muscler vos pensées positives

     

    En apprenant à contrôler votre dialogue intérieur et en le transformant en monologue positif plutôt que négatif, vous pouvez commencer à gagner du contrôle sur chaque aspect de votre vie pour produire des changements essentiels.

    Avez-vous une idée du nombre de pensées négatives que la plupart des gens véhiculent (plus ou moins consciemment) chaque jour ?

    Non ?

    Et bien… moi non plus… :-)

    Ce que je sais, c’est que certaines expériences nous expliquent que nous aurions environ 38 800 pensées par jour.

    Ca en fait un p’tit paquet ça… Imaginez si seulement un tiers (et encore, je suis gentil) de ces pensées se balade dans le négatif… Vous modelez littéralement votre cerveau par du martelage négatif !

    La qualité de vos pensées va donc déterminer la qualité de votre vie.

    Votre capacité à muscler votre virtuose intérieur et à être en phase avec la vie dépend en grande partie de la manière dont vous vous traitez.

    Et la façon dont vous pensez peut changer radicalement la façon dont vous voyez la vie.

    Car vous êtes la personne avec laquelle vous communiquez le plus.

    Si je mets de côté :

    -nos amis spiritualistes qui, pour résumer un peu rapidement leur démarche, travaillent à dissoudre l’ego, et,

    -les personnes qui pratiquent intensément toutes sortes de méditation afin de ne plus s’attacher aux phrases de leur mental,

    l’immense majorité des gens passent leur vie avec et dans leur mental !

    Et, surtout ils passent leur temps à écouter leur mental.

    Alors autant que ce soit du bon temps non ?

    Les avantages des pensées positives

    Une attitude mentale positive vous conduit à plus de confiance alors que la négativité entame fortement l’estime de soi.

    Attention, il ne s’agit pas ici de dire l’inverse de ce que je disais dans l’article sur Emile Coué.

    Il convient d’allier à la pensée positive d’autres techniques, car le mental à lui seul ne pourra résoudre tous vos maux. Mais utiliser sa puissance d’une manière contribuante est la première étape d’une (r)évolution personnelle.

    En prenant une attitude positive, vous regardez la vie d’une façon qui vous conduit à voir le bon dans les gens et le monde.

    La personne qui traverse la vie avec optimisme est plus en mesure de faire face à la vie ; elle est capable de rebondir.

    Lorsque vous êtes optimiste, vous voyez le « problème » pour ce qu’il est : rien d’autre qu’un ensemble d’évènements, passés ou à venir, que vous pouvez surmonter en leur donnant un sens, une coloration qui vous renforcent.

    La perte d’un emploi est ainsi l’occasion d’une pause, d’un nouveau départ vers une destinée encore meilleure.

    La non-réussite d’un examen signifie une chance de s’améliorer, de faire autre chose ou de comprendre comment ne pas arriver à quelque chose justement.

    Vous pouvez décider de ne garder que les pensées qui vous nourrissent.

    L’utilisation de l’auto-persuasion positive dans votre vie quotidienne

    Plus que de la simple auto-persuasion, l’idée que j’essaie de faire passer ici est de développer une capacité à renverser les visions plutôt désagréables que l’on peut avoir parfois.

    Je ressens de la colère, de la peur, du découragement…

    OK. Je ne nie pas ces émotions, j’accepte de les vivre.

    Mais au lieu de m’y plonger et de m’y identifier, je me demande ce qu’elles m’apprennent sur moi ?

    Quel est le besoin, derrière ces émotions, que je n’ai pas encore satisfait ?

    Si votre muscle de la pensée négative est bien développé, cette démarche peut vous sembler curieuse au départ.

    L’auto-persuasion positive peut être utilisée pour de nombreux aspects dans votre vie : elle peut vous aider à surmonter les situations difficiles, à acquérir plus de confiance en soi, vous aider à arrêter des habitudes néfastes, vous permettre de récupérer plus vite d’une maladie ou apporter des changements à votre vie en général.

    • Plutôt que de regarder une situation de façon négative et de penser avoir un problème, vous pouvez par exemple vous dire : « voilà un nouveau défi intéressant en face de moi ».

    Le fait de penser en terme de « défi » et non de « problème » change la tonalité que vous donnez à la situation

    • Plutôt que de vous critiquer et vous auto-flageller constamment, apportez-vous un peu d’amour :

    stoppez la voix de votre saboteur interne et dites-lui que vous comprenez qu’elle est là pour votre bien.

    Que vous comprenez que derrière ses critiques, elle cherche en fait à vous améliorer. Et que vous y travaillez, petit à petit.

    J’aime la personne que je suis – ce qui pourrait être utilisé pour renforcer la confiance en soi et gagner le respect de vous-même et la personne que vous êtes, des déclarations similaires pourraient être: «Je suis le meilleur », « je suis une bonne personne» ou «J’ai nombre d’excellentes qualités ».

    • Répétez-vous que vous êtes capables de faire quelque chose si vous êtes confronté à une certaine tâche devant laquelle vous doutez déjà.

    Quelles autres applications du principes de la pensée positive verriez-vous ?

    21 commentaires

    1. Bonsoir Greg,

      Je suis totalement en phase avec tes propos.

      Quelle que soit l’épreuve à laquelle on est confronté, il est nécessaire d’adopter une pensée ET une attitude positive. Sinon, à quoi bon continuer ?
      Bien sûr, ce n’est pas toujours facile à mettre en oeuvre, mais quand on y parvient, on se sent fort et près à affronter tous les périls de la vie.
      Et le plus surprenant, c’est qu’on la trouve encore plus belle, malgré tout.
      Alors oui, soyons positif, la force est en nous !

    2. Coucou Sylvie,

      Ton témoignage me fait d’autant plus plaisir que J’imagine que tu as du fortement expérimenter ces principes.

      Tu as raison : oh que non ça n’est pas toujours facile !
      Mais cela nous fait évoluer, on se construit comme cela.

      Pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, j’invite vraiment les lecteurs à aller consulter ton très bel article :
      http://aubonheurdelapierreblanche.com/developpement-personnel/3-ilots-et-me-voici/

      Comme tu dis, la Force, le côté clair de la Force même, est là en nous :-)

    3. Ça rejoint dans un sens, le 1èr des 3 points dont tu parles à la fin:

      Quotidiennement ou du moins très souvent, il nous arrive des problèmes :

      Au lieu de se dire  » Pu…! encore une galère »

      Faites plutôt un sourire et dites-vous que ce problème a une raison d’être et va vous permettre de voir une chose que vous n’avez pas vue.

      Très récemment je me suis fait voler mon téléphone avec tous mes contacts et des fichiers,idées que j’avais collectées durant 1 an et demi de travail. ( 200 fichiers )

      Quel point positif ? Sur le coup, je ne savais pas, mais après 1 mois et demi j’ai eu la réponse 😉

      Al

      • Salut Al,

        Ah génial ça ! Tu as su décrypter le message que t’envoyait la vie !

        Parfois, sur le coup on comprend pas bien pourquoi. On a l’impression que le sort s’acharne. Puis en fait, avec le recul, on comprend pourquoi tout ça était en fait « parfaitement huilé », comme un vrai plan de l’Univers fait pour guider vers des choses encore meilleures :-)

    4. La puissance de l’auto persuasion positive est considérable.

      Lors de mes conférences je conseil souvent de se créer un « univers » d’auto persuasion positive.

      Mettre des fonds d’écrans avec des citations, s’imprimer un crédo au bureau, se faire un vision board.

      Bref l’idée c’est de créer un nouvel environnement propice à son développement.

    5. BK

      Hello Greg,

      Si je voulais chipoter sur les mots (fort heureusement, ce n’est pas mon genre), je dirais qu’à la place de « surveiller » ses pensées, etc., mieux vaudrait utiliser une expression comme « être attentif » ; et plutôt que « contrôler » mieux vaudrait dire « maîtriser »…

      … mais dans l’ensemble tous ces conseils s’inscrivent dans le cadre fort sympathique d’une religiosité du développement personnel qui ne s’interdit pas d’évoluer éventuellement vers une spiritualité plus affirmée.

      Donc, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. Tout ça évolue !

      Je n’en veux pour preuve que cette amélioration de notre condition, à nous autres spiritualistes, qui sommes aujourd’hui gentiment « mis de coté », alors qu’il y a à peine quelques siècles encore on passait sur le bûcher.

      Elle est pas belle la vie ?

      Bernard

      • Bonjour Bernard,

        Je te rejoins sur le fait de privilégier « être attentif » et « maitriser » : ces expressions sont sans doute plus justes.

        En revanche, je suis partagé sur un point : je sais que sous ta plume, le terme de religiosité n’est guère « valorisant » ou du moins, se situe à l’opposé de la spiritualité.

        Ta réflexion est intéressante car elle m’interroge sur mes « postulats » de réflexion, pour le dire avec de gros mots, sur les présupposés ontologiques et épistémologiques.
        Je me posais d’ailleurs une question : au final, adopter le point de vue spi, n’est-ce pas aussi un postulat comme un autre ?

        Je sais que tu vas répondre que pour la spi il n’y a pas de présupposés, que cela est encore le mental et l’ego qui veulent comprendre, etc.

        Ma question va sans doute t’horrifier, mais je me lance quand même : ne peut-on pas considérer la spi comme une religion elle aussi ? (dans le sens comme une manière de voir les choses, et seulement une manière parmi tant d’autres) ?

        PS : une question beaucoup plus pratique : je remarque que tes commentaires sont souvents fait très tard le soir (ou tôt le matin) : est-ce du à un coucher tardif ou un lever très matinal ?

        • BK

          Non, non, il n’y a rien de mal dans la religiosité (qui n’est pas la religion).

          Le discours spiritualiste discrimine sans jugement.

          La religiosité sévit aussi bien dans les religions, que dans le matérialisme, que dans le développement personnel, etc.

          Et il en va de même pour le spiritualisme et la spiritualité que l’on peut aussi retrouver un peu partout.

          Jean de la croix était catho mais à 100% dans la spiritualité.

          Inversement, on peut tenir des discours « non-dualistes » et être en réalité à 100% dans la religiosité.

          D’ailleurs quand tu dis « adopter le point de vue spi, n’est-ce pas aussi un postulat comme un autre ? », tu suggères qu’on peut adopter le point de vue spi… ce qui est la définition même de la religiosité.

          La religiosité, c’est ce que tu adoptes. La spiritualité, c’est ce qui t’adopte.

          Ça ressemble à un jeu de mot, mais quand tu t’aperçois que « tu ne peux pas faire autrement » et que « ça te poursuit malgré toi », tu comprends que ce n’était pas un jeu de mots.

          Tu peux effectivement croire avoir adopté le point de vue spi, mais, comme je le disais récemment : entre la religiosité et la spiritualité, il n’y a pas forcément de différence dans le discours. Ce sont les mêmes mots.

          Bref, religiosité et spiritualité ne sont pas des institutions. Ce sont des modes de traitement de l’information.

          Dans la religiosité – et il n’y a rien de plus normal à cela – on cherche le positif et on fuit le négatif.

          Dans la spiritualité on considère qu’il n’y a ni positif ni négatif. Il n’y a que « ce qui est ».

          Cela dit, il est bien évident qu’on ne peut accueillir « ce qui est » qu’en rejetant la recherche du positif et la fuite du négatif.

          Mais – c’est là qu’il faut être attentif aux limites des mots – rejeter cette dialectique du positif/négatif, y compris dans le discours, n’implique nullement de la dévaloriser.

          Ne serait-ce que parce que la dévaloriser reviendrait à s’emprisonner dans une nouvelle dialectique.

          Accepter « ce qui est », c’est rejeter ce que l’on veut personnellement… mais cette sorte de « rejet » ne procède pas par anthipathie. Aussi curieux que cela puisse sembler à dire dans les termes du langage ordinaire, « accueillir ce qui est » rejette la dialectique positif/négatif par amour.

          C’est une intégration qui désintègre tout ce qui n’intègre pas.

          Pour finir, si je subdivise la « spi » en « spiritualisme », « spiritualité » et « spirituel », c’est précisément pour dire qu’au départ la « spi » n’est effectivement qu’une manière de voir les chose, parmi tant d’autres.

          Mais que c’est à l’arrivée que « ça change ». Et même, progressivement, bien avant l’arrivée.

          Progressivement, toutes les différentes « manières de voir les choses » se dissolvent dans une paisible indifférenciation.

          Le spiritualisme crucifie la religiosité, la spiritualité crucifie le spiritualisme, et le spirituel crucifie la spiritualité.

          Ce qu’on appelle génériquement la « spi » n’est donc que très apparemment une « manière de voir ». En réalité, c’est un processus de destruction des « manières de voir ».

          Mais tout ne dépend que de ton engagement dans ce qui se révèle en toi comme une nécessité de détruire tes « manières de voir ».

          S’il n’y a pas nécessité pour toi, il est bien évident qu’il ne peut y avoir engagement.

          Bernard

          P.S. Je suis un « coucher quand j’ai sommeil » et un « lever quand j’ai plus sommeil ». Privilège du grand âge extracanonique !

          • Encore une fois, je suis bien content d’avoir posé la question, car tes éclaircissements mon cher Bernard, me permettent vraiment de comprendre plus encore la démarche.

            J’aime beaucoup certaines de tes phrases clés : c’est la spiritualité qui t’adopte, “le rejet ne procède pas par antipathie ».

            Je comprends aussi que la spiritualité « n’impose rien » de l’extérieur. C’est la démarche intérieure qui permet de dissoudre les prismes par lesquels on appréhende le monde depuis tout petit (parce qu’on a appris à l’appréhender de la sorte).

            Vraiment très intéressant !!

            PS : ok, tu suis donc tes cycles naturels du sommeil, c’est extra ça. Je me demandais si la méditation (ou la pratique) te permettait de diminuer le besoin de sommeil…. Thème pour un éventuel prochain article ? :-)

    6. Merci pour ton article :)

      Très bonne idée que celle de David ! L’univers positif partout autour de soi, c’est superbe !

      Tu as raison de souligner l’importance également d’accepter les émotions, car avec la « pensée positive » le principal danger est que les gens essaient de nier leurs émotions négatives alors qu’elles sont déjà présentes en eux …

      • Coucou Jean-Yves,

        Avec plaisir ! Merci à toi pour le commentaire ! :-)

        Oui, ça marche bien de « configurer » ce qu’on veut voir autour de nous.

        Jack Canfield a une superbe phrase pour ça, que j’adore !! Et que j’ai écrit au dessus de mon bureau : « le monde conspire à votre réussite » !!

        Tout le monde manigance pour…. nous aider à obtenir le succès et vivre pleinement la vie de nos rêves !

        Je trouve ça top !

    7. Coucou Grégory,

      Super ton article. J’ai trouvé très interessant l’emploi du terme « muscler », car c’est tout à fait cela, tout est une question d’entrainement, de répétition. Tout à fait d’accord sur le fait que l’on vive toutes ses émotions. Car si on fait seulement de la pensée positive sans vivre ses émotions, cela ne marche pas.

      • Coucou Mary,

        Merci pour ton commentaire, et bienvenue chez les Virtuoses :-)

        Oui, j’aime aussi beaucoup l’idée de muscler son mental pour l’orienter vers « le mieux pour nous ».
        Et comme pour tout le reste bien sûr, cela demande de la pratique !

    8. Salut Greg !

      J’ai souri en voyant en découvrant ton article, car celui que je viens de mettre en ligne est assez complémentaire. (j’y parle d’être positif au quotidien).

      J’aime bien le démarrage de ton article, où tu rappelles que « la personne qu a la plus grande influence sur nous, c’est nous -même. »

      Perso, j’aime bien me rappeler la phrase suivante : « Qui d’autre que moi peut-être moteur de ma vie ? » (C’est du même ordre).

      J’aime bien aussi cette idée que la vie nous envoie des expériences à vivre, et que nous avons le choix de les prendre comme :
      – des problèmes,
      – ou des défis à relever :-)

      Tu parles également de l’intérêt de s’apporter de l’amour, plutôt que de se critiquer et de s’auto-flageller.
      C’est vrai pour notre relation avec nous-même, et aussi avec les autres (et là, je fais un pont avec mon dernier article) 😉

      Au plaisir de te lire.

      • Coucou Sam,

        Et bien je suis heureux de voir que nos inconscients se rencontrent, pour publier sur des thématiques proches !

        Je file te lire de ce pas alors :-)

    9. Que ce soit envers nous même ou envers les autres il faut toujours achever un dialogue de manière positive.

      Le mieux est bien sûr d’avoir du positif 100% du temps, mais c’est parfois compliqué 😉

      • Salut Amin,

        Bienvenue par ici !

        Oui tu as raison, c’est une très bonne technique d’au moins finir le dialogue (avec les autres ou avec soi-même) de façon positive.
        D’autant plus que l’autre a souvent tendance à se souvenir des derniers instants : donc lors d’une prochaine rencontre, ce sont ceux-là qui lui reviendront en mémoire !
        Alors autant qu’ils soient dans de « Good Vibes » :-)

    10. Je n’avais jamais fait gaffe mais maintenant que tu le dis c’est vrai qu’on se parle en permanence à soi, beaucoup plus qu’aux autres.
      Concernant la méditation comme moyen de réduire cet afflux mental je reste assez perplexe.

      Sinon pour finir sur les pensées positives, dans le même genre il y a les différences entre la culture français et la culture anglo-saxon. Aux Etats-Unis, on dit sans arrêt « you did a good job » (vous avez fait du bon travail) alors qu’en France on a plus tendance à se flageller. Au final on est plus pessimistes que les Afghans !

      • Coucou Julien,

        Tu as raison, les cultures et les expressions qui y sont associées contribuent à déterminer nos pensées et notre façon de voir la vie !
        Le poids des mots est très important pour la qualité de notre vie.

        Pour la méditation, peut-être pourrais-tu essayer pendant plusieurs jours (semaines ?) pour voir si tu constates une influence sur tes pensées.. ? 😉

    11. Max

      Article très intéressant ! C’est un point de vue extra-ordinaire !

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