Sommes-nous des victimes sans le savoir ?

  • Qui d’entre nous aime être une victime ?

    Personne me semble-t-il…

    Ce terme de «victime» évoque l’image d’une personne désemparée, impuissante face à des conséquences naturelles comme un ouragan ou un tremblement de terre par exemple.

    pouvoir personnel

    Êtes-vous une victime sans le savoir ?

    Pourtant, nous avons tous tendance à être des victimes émotionnelles. Souvent sans le savoir.

    Quand ?

    Nous sommes régulièrement des victimes lorsque  :

    • nous donnons à une personne de notre entourage le pouvoir de définir notre valeur
    • nous donnons à une substance (le tabac) ou une activité (le sport ou la méditation) le pouvoir de déterminer notre humeur ou nos sentiments
    • nous reprochons aux autres d’être à l’origine de nos propres émotions de peur, de colère, de douleur, de solitude, de jalousie, de déception…

    Il me semble pourtant que nous avons deux choix:

    nous pouvons essayer de trouver notre bonheur, la paix, la sécurité, amabilité et de la valeur à travers les gens, les choses, les activités et les substances,

    ou

    nous pouvons nous sentir joyeux, en paix, confiant, aimable et digne en prenant soin de soi-même et en se connectant à quelque chose de plus vaste qui pourra être, en fonction de nos systèmes de croyances : l’Univers, Dieu, la Nature, notre source intérieure, etc.

    Chaque fois que nous choisissons de trouver notre bonheur et la sécurité à travers les autres, nous devons essayer de les contrôler afin d’être certains qu’ils nous donnent ce que nous voulons.

    Le risque étant, bien sûr, que tout ne se passe pas exactement comme nous l’aurions souhaité et que nous nous sentions ensuite blessés ou agressés par leurs choix.

    Il sera alors facile de repasser en mode « victime ».

    A l’inverse, assumer la responsabilité de nos propres sentiments en développant notre puissance intérieure (au lieu de donner ce travail aux autres) nous fait sortir de notre état de victime et nous rapproche constamment de notre pouvoir personnel.

    Qu’en pensez-vous ?

    6 commentaires

    1. Bonjour Greg,
      Je suis passionné par la loi d’attraction et également par le développement personnel. Et cela m’a beaucoup aidé face aux obstacles de la vie, comme le chômage ou la maladie.
      Se considérer en victime face aux évènements est la solution de nombreuses personnes. Et passer en mode « excusite », je n’ai pas de travail (à cause de la crise), je suis trop vieux ou trop jeune,je manque d’expérience est souvent les réponses que j’entends!
      Pour surmonter ce genre de difficultés, lisez des livres et regarder des vidéos de personnes qui ont réussi.
      Et surtout prenez conscience que ce sont vos pensées et actions actuelles qui détermineront votre futur. Et si votre situation actuelle ne vous convient pas, c’est uniquement le résultat de vos actions passées.
      Si vous voulez que votre vie change, soyez responsable dès maintenant de chaque pensée et action que vous faites. C’est vous seul qui détenait le pouvoir de transformer votre vie. Le jour ou vous aurez compris que ce sont vos pensées et actions qui forment votre futur, vous serez libéré de toutes vos peurs qui vous entrave.
      C’est cela le pouvoir de la puissance intérieure.

    2. Coucou the star

      Le problème c’est que le bonheur fait presque peur.
      Quand on a galéré pas mal dans une vie, le fait d’être heureux, de ne pas avoir de problème est presque considéré comme anormal, si bien que l’on n’arrive pas à apprécier ce bonheur, car on vit avec la peur de la prochaine tuile.

      Tu as un truc pour contrecarrer ça ?

      • Salut Mariedo :)

        Si j’ai UN truc ?
        Non pas UN truc, PLEIN de trucs pour contrecarrer ça !

        Pas évident toutefois de parler de cela par écrit, d’autant plus à distance.

        Mais déjà commencer à faire se focaliser la personne sur toutes les belles choses qu’elle a faites dans sa vie.
        Lui faire prendre conscience (mais viscéralement) que le futur n’est pas égal au passé, à moins de volontairement se complaire dans le passé.

        Il s’agit en gros d’un problème courant : apprendre au cerveau à vivre autre chose que ce qu’il a vécu jusqu’à ce jour, et lui faire constater qu’il ne risque rien non plus en réussissant et en étant heureux.

        Bref, tout un programme !

    3. Ma vision :

      « je ne suis pas responsable nécessairement de tout ce qui m’arrive, mais je suis responsable de ce que je fais avec ce qui m’arrive »

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